Ceci est une pâle copie d'un article de blog de microlinux sur le même sujet : je voulais garder l'information au chaud, à portée de main. Mille mercis à microlinux.fr pour les infos !
ddrescue -f -n /dev/sdb4 rescue.img rescue.log # -f : force l'ouverture des fichiers ou périphérique en écriture # -n : éviter les tentatives de relectures de secteurs défectueux, pour accélérer le processus
L'avantage de ddrescue ne se bloque pas contrairement à rsync
ou scp
.
Si la restauration s'arrête, on peut la relancer avec :
ddrescue -d -f -r3 /dev/sdb4 rescue.img rescue.log # -d : utilise l'accès direct au disque # -r3 : tente de relire les secteurs défectueux jusqu'à 3 tentatives
Le fichier image que l'on obtient doit faire la taille de la partition
Il suffit de monter l'image sur un répertoire local :
mount -v -o loop rescue.img /mnt/rescue # -v : verbose (attention, pas forcément digeste) # -o loop : monter un loop device (pour les images disque)
loop device = virtual block of storage
Permet d'avoir un formatage (ext4) différent dans le virtual block of storage du système de fichier parent, c'est comme une partition virtuelle.